Cher Patrrice, c’est évidemment toute la filière
nucléaire (y compris ses déchets) qui exige une réflexion profonde, démocratique et philosophique.
Dans un premier temps, le « moins pire » est de conserver ces déchets à l’endroit où ils ont été produits afin de les surveiller et surtout de ne pas les
« oublier ».
Amicalement,
Hélène Zanier