Pas de problème. La « confusion » était possible. La personne ne vivant pas le quartier lui-même, mais tenant quand même à bien expliquer la réalité de la délinquance subie par les habitants à ceux, qui, habitant ailleurs, pourraient croire qu’il ne s’agit que d’une exagération médiatique.
Merci encore pour votre éclairage-témoignage.
Cela dit, la question des solutions reste ouverte … de façon béante.
Pierre Mathon