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A la veille du premier tour de l'élection présidentielle, la cour d'appel de Paris a examiné en urgence, ce samedi 21 avril, le recours en diffamation, déposé par Marine Le Pen contre Eva Joly, et a débouté la présidente du FN.
Jugées «irrecevables» en première instance, les poursuites engagées par la candidate du FN ont finalement été déclarées «recevables». La cour a considéré que les propos étaient «diffamatoires», mais a octroyé à Eva Joly «le bénéfice de la bonne foi».
A la veille du premier tour de l'élection présidentielle, la cour d'appel de Paris a examiné en urgence, ce samedi 21 avril, le recours en diffamation, déposé par Marine Le Pen contre Eva Joly, et a débouté la présidente du FN.
Jugées «irrecevables» en première instance, les poursuites engagées par la candidate du FN ont finalement été déclarées «recevables». La cour a considéré que les propos étaient «diffamatoires», mais a octroyé à Eva Joly «le bénéfice de la bonne foi».