Je suppose que vous avez voulu écrire « ce n’est pas des gymnases qu’il faut, c’est des prisons ».
Je pourrais vous répondre que il est à la fois nécessaire d’éduquer les jeunes et de conduire une politique sérieuse de sécurité comprenant
- la prévention ;
- la répression, incluant les alternatives à la prison ;
- la réparation et l’appui aux victimes.
N’opposons pas les choses.
Pierre Mathon