"les morts sont tous des braves types", écrivait déjà le regretté Brassens. Mais je suis un peu gêné devant ce flot massif d'éloges, qui oublient les zones d'ombres de la vie (publique) de Danielle
Mitterand, et en particulier son soutien discutable à son fils Jean-Christophe dans des affaires africaines scandaleuses. Les discours ne valent que si leur mise en oeuvre est en cohérence. Ce n'a
pas toujours été le cas, hélas.
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