Cher Pierre,
on peut parler de choses sérieuses sur le ton badin !
Il n'est pas sûr que l'incontestable situation d'inégalité de la femme, en droit ou en fait, équivaille à de la soumission à l'homme, en tout cas en France.
Quant aux symboles, je les place à un rang bien inférieur à la réalité toute crue : celle de la domination des hommes qui sont à la quasi-totalité des postes-clé de notre société, en particulier dans l'économie mais pas seulement.
Effectivement, le foulard n'est pas une tradition qui passera avec le temps. Comme la chrétienté en France, elle disparaîtra grâce à la diffusion des connaissances, à l'émancipation que procure un travail, à la cohabitation avec des femmes sans foulard et accessoirement grâce à un travail militant respectueux de personnes qui ne viennent pas de pays qui ont voté la séparation des églises et de l'état en 1905.
Quelle a été, en France, l'efficacité des "bouffeurs de curés" dans la première moitié du XX ème siècle ? Proche du zéro absolu, inutile de continuer dans les mêmes ornières contre-productives !
on peut parler de choses sérieuses sur le ton badin !
Il n'est pas sûr que l'incontestable situation d'inégalité de la femme, en droit ou en fait, équivaille à de la soumission à l'homme, en tout cas en France.
Quant aux symboles, je les place à un rang bien inférieur à la réalité toute crue : celle de la domination des hommes qui sont à la quasi-totalité des postes-clé de notre société, en particulier dans l'économie mais pas seulement.
Effectivement, le foulard n'est pas une tradition qui passera avec le temps. Comme la chrétienté en France, elle disparaîtra grâce à la diffusion des connaissances, à l'émancipation que procure un travail, à la cohabitation avec des femmes sans foulard et accessoirement grâce à un travail militant respectueux de personnes qui ne viennent pas de pays qui ont voté la séparation des églises et de l'état en 1905.
Quelle a été, en France, l'efficacité des "bouffeurs de curés" dans la première moitié du XX ème siècle ? Proche du zéro absolu, inutile de continuer dans les mêmes ornières contre-productives !