Vous êtes-vous déjà demandé qui sont les musulmans radicaux que sont les terroristes qui assassinent aveuglément, qui tuent la vie parce qu’ils n’aiment pas la vie ?
Eh bien, ce ne sont, au départ, que des musulmans « modérés » qui se contentaient de ne « prendre » dans l’islam que les rituels, les prières mécaniques, le jeûne plus ou moins bien suivi, les traditions et les superstitions, histoire d’avoir la paix dans leur famille, jusqu’à ce qu’ils rencontrent des imams « savants » (savants en islam) qui les instruisent et leur font découvrir l’étude du coran (et de ses annexes) et toute la violence contenue dans ces textes sacrés. Ces bonimenteurs pullulent sur internet !
Ces diktats religieux violents et criminels vont alors entrer en résonnance avec la violence dont ils sont porteurs, souvent depuis leur plus tendre enfance. Cette violence « sacrée » va d’un seul coup ou petit à petit prendre un sens impérieux et surtout une légitimité « sacrée » avec la désignation de boucs émissaires (ceux qui leur veulent du mal, ceux qui ne sont pas conformes à l’idéologie musulmane) : les infidèles et autres mécréants, les croyants d’autres religions, les apostats, les homosexuels, les femmes, etc, qu’ils doivent haïr et détruire en puisant dans la haine d’eux-mêmes, de celle du bonheur (l’islam glorifie le culte du martyre !) et de la liberté.
C’est donc bien la rencontre entre la haine de soi et une idéologie mortifère et nihiliste qui fait le fasciste et le terroriste.
Il n’y a donc pas deux ou trois catégories de musulmans comme certains tentent de s’en convaincre, il y un processus à l’œuvre qui emporte d’abord les plus faibles, les plus abîmés par la violence de leur milieu, de leur environnement proche et les plus lâches. Ceux qui n’ont pas été éduqués dans l’amour de la vie, dans la quête du bonheur, ceux qui n’ont pas reçu d’amour, ceux qui n’ont pas été respectés.
Bien sûr, les autres ne tomberont pas dans ces pièges mortels. Ils en seront les victimes. Ça se passe comme ça quand le fascisme s’installe.
On n’avait pas besoin d’attendre l’exemple de l’état islamique pour le savoir, tous les pays qui sont tombés sous le joug de l’islam nous l’avaient démontré. Mais on regardait ailleurs, nos chaussures ( ?).
Déjà 900 djihadistes français partis se battre aux côtés des barbares de l’état islamique d’Irak et de Syrie, cela en dit long sur la force et l’ampleur du processus, sur la fabrication programmée de terroristes fascistes en France et ailleurs.
Démocrates, gens de raison amoureux de la vie, préparons-nous à la résistance.
Eh bien, ce ne sont, au départ, que des musulmans « modérés » qui se contentaient de ne « prendre » dans l’islam que les rituels, les prières mécaniques, le jeûne plus ou moins bien suivi, les traditions et les superstitions, histoire d’avoir la paix dans leur famille, jusqu’à ce qu’ils rencontrent des imams « savants » (savants en islam) qui les instruisent et leur font découvrir l’étude du coran (et de ses annexes) et toute la violence contenue dans ces textes sacrés. Ces bonimenteurs pullulent sur internet !
Ces diktats religieux violents et criminels vont alors entrer en résonnance avec la violence dont ils sont porteurs, souvent depuis leur plus tendre enfance. Cette violence « sacrée » va d’un seul coup ou petit à petit prendre un sens impérieux et surtout une légitimité « sacrée » avec la désignation de boucs émissaires (ceux qui leur veulent du mal, ceux qui ne sont pas conformes à l’idéologie musulmane) : les infidèles et autres mécréants, les croyants d’autres religions, les apostats, les homosexuels, les femmes, etc, qu’ils doivent haïr et détruire en puisant dans la haine d’eux-mêmes, de celle du bonheur (l’islam glorifie le culte du martyre !) et de la liberté.
C’est donc bien la rencontre entre la haine de soi et une idéologie mortifère et nihiliste qui fait le fasciste et le terroriste.
Il n’y a donc pas deux ou trois catégories de musulmans comme certains tentent de s’en convaincre, il y un processus à l’œuvre qui emporte d’abord les plus faibles, les plus abîmés par la violence de leur milieu, de leur environnement proche et les plus lâches. Ceux qui n’ont pas été éduqués dans l’amour de la vie, dans la quête du bonheur, ceux qui n’ont pas reçu d’amour, ceux qui n’ont pas été respectés.
Bien sûr, les autres ne tomberont pas dans ces pièges mortels. Ils en seront les victimes. Ça se passe comme ça quand le fascisme s’installe.
On n’avait pas besoin d’attendre l’exemple de l’état islamique pour le savoir, tous les pays qui sont tombés sous le joug de l’islam nous l’avaient démontré. Mais on regardait ailleurs, nos chaussures ( ?).
Déjà 900 djihadistes français partis se battre aux côtés des barbares de l’état islamique d’Irak et de Syrie, cela en dit long sur la force et l’ampleur du processus, sur la fabrication programmée de terroristes fascistes en France et ailleurs.
Démocrates, gens de raison amoureux de la vie, préparons-nous à la résistance.