Qu’il faille démolir la dalle pour la ramener au niveau du sol c’est ce pour quoi nous nous sommes battus (seuls à l’époque). Cette restructuration (« lourde ») de la dalle a d’ailleurs été inscrite (grâce à nous) dans l’ANRU et devait bénéficier de subventions qui ont été perdues en raison de la gestion désastreuse de l’encore-maire et de son encore-premier-adjoint. Mais il y a aussi des logements (avec des habitants) et des services publics (avec des usagers) que personne ne propose de démolir.
Pierre Mathon