Ce qui me surprend le plus dans votre commentaire, Monsieur Salim, c’est que vous ne traitez pas le sujet de l’article : la condition animale et le fait que quelle que soit la confession religieuse des uns et des autres, nous devons nous comporter avec les animaux comme avec des êtres sensibles. J’aurai la bonté de ne pas prendre en considération ni vos débordements sur le lobby juif (qui rappellent des périodes sombres de notre histoire), ni sur le fond supposé de notre pensée, ni sur l’audience de notre blog.
Pierre Mathon