La manœuvre du maire sortant est un peu grossière et ne trompe personne.
Laisser s’installer des oiseaux protégés sur un site – urbanisme sur dalle avec équipements publics en haut d’escaliers ! - destiné à la destruction et à la rénovation dans le cadre de l’ANRU, permet au maire sortant de s’abriter derrière cette protection pour ne pas tenir ses engagements et laisser les Bagnoletais gravir des escaliers pour accéder à plusieurs équipements majeurs de la commune comme la piscine, le centre de quartier, la salle Joliot-Curie, les conservatoires.
Maintenant, à moins que ces bestioles décident d’elles-mêmes de rejoindre d’autres horizons, nous n’avons plus aucun espoir de voir une place au niveau de la rue dans ce lieu.
« Le flamant rose bénéficie d'une protection totale sur le territoire français depuis l'arrêté ministériel du 17 avril 1981 relatif aux oiseaux protégés sur l'ensemble du territoire. Il est inscrit à l'annexe I de la directive Oiseaux de l'Union européenne4. Il est donc interdit de le détruire, le mutiler, le capturer ou l'enlever, de le perturber intentionnellement ou de le naturaliser, ainsi que de détruire ou enlever les œufs et les nids et de détruire, altérer ou dégrader leur milieu. Qu'il soit vivant ou mort, il est aussi interdit de le transporter, colporter, de l'utiliser, de le détenir, de le vendre ou de l'acheter. » (Wikipédia)
Laisser s’installer des oiseaux protégés sur un site – urbanisme sur dalle avec équipements publics en haut d’escaliers ! - destiné à la destruction et à la rénovation dans le cadre de l’ANRU, permet au maire sortant de s’abriter derrière cette protection pour ne pas tenir ses engagements et laisser les Bagnoletais gravir des escaliers pour accéder à plusieurs équipements majeurs de la commune comme la piscine, le centre de quartier, la salle Joliot-Curie, les conservatoires.
Maintenant, à moins que ces bestioles décident d’elles-mêmes de rejoindre d’autres horizons, nous n’avons plus aucun espoir de voir une place au niveau de la rue dans ce lieu.
« Le flamant rose bénéficie d'une protection totale sur le territoire français depuis l'arrêté ministériel du 17 avril 1981 relatif aux oiseaux protégés sur l'ensemble du territoire. Il est inscrit à l'annexe I de la directive Oiseaux de l'Union européenne4. Il est donc interdit de le détruire, le mutiler, le capturer ou l'enlever, de le perturber intentionnellement ou de le naturaliser, ainsi que de détruire ou enlever les œufs et les nids et de détruire, altérer ou dégrader leur milieu. Qu'il soit vivant ou mort, il est aussi interdit de le transporter, colporter, de l'utiliser, de le détenir, de le vendre ou de l'acheter. » (Wikipédia)