Magique en effet cet endroit de 40
hectares (une ancienne carrière de gypse) sans intervention humaine depuis 60 ans. Il faut préserver ce poumon vert de toute urbanisation.
Si la prise en compte de l’existence de ce joyau a avancé chez les décideurs, le projet de base de loisirs n’est pas abandonné et la question de le préserver pleinement n’est pas tranchée : c’est
la raison pour laquelle nous avons créé une association.
Coïncidence, nous faisons ce dimanche une sortie sur le terrain. Le combat pour garder une part de nature dans nos villes continue.
Pierre Mathon