Au-delà, cher René, de votre affirmation - que je considère comme non fondée – selon laquelle je serais « fasciné pour des petites guerres politiciennes et idéologiques » qui nourriraient mon « imaginaire », je suis comme vous persuadé qu’il est possible d’être opposé à la politique urbaine de Dominique Voynet (comme de celle passée de JP Brard) sans vouloir forcément le retour de l’ancien maire et tsar de Montreuil et sans vouloir supprimer toutes les avancées de la gestion écologiste de Montreuil. Je note que vous n’êtes partisan ni d’EELV, ni du retour de JP Brard, ni de l’arrivée de R Hammadi. Je suis moi-même adhérent (j’en suis co-fondateur) d’une association (MAP) qui combat depuis longtemps en toute indépendance pour la sauvegarde des 37 hectares des murs-à-pêches.
J’ai quand même constaté que le climat montreuillois était très clivant et propice aux déclarations péremptoires et démagogiques.
Il se trouve que l’avenir de Montreuil nous intéresse sur ce blog et que c’est tout-à-fait naturellement que j’ai publié cette tribune LIBRE, comme j’ai publié les commentaires de mon ami François Fatoux et du secrétaire de la section du PCF de Bagnolet sur le même sujet. Je publie également le vôtre.
Vive le débat d’idées.
Pierre Mathon