Le problème, c’est que les emprunts toxiques dont nous parlons ne sont pas à venir. Ils ne sont pas l’objet de rêves plus ou moins conceptuels, mais ont été souscrits réellement par le maire de Bagnolet en 2008. La question est qui paye et aujourd’hui il semble que l’Etat (c'est-à-dire, vous et moi) n’ait pas envie de régler l’ardoise laissée par quelques maires irresponsables. Ce qui ne nous arrange pas à Bagnolet…
Pierre Mathon