Ce n’est évidemment pas satisfaisant de ne loger que les familles (et encore en hôtel jusqu’à la fin de la trêve hivernale) en laissant les célibataires sur le carreau.
On est ici en plein cœur d’une situation où sont en questions le droit au logement, les rôles respectifs des communes et des intercos, du Département et de la Région et de l’État, de la nécessaire péréquation, comment ne pas accueillir toute la misère du monde et en prendre quand même sa part.
Nous reviendrons sur ce douloureux problème.
Pierre Mathon